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Comédie
écrite par Jean JAQUE Mise en scène de Gilles AZZOPARDI Avec Serge GUBERN et Laurent MOREAU
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L'arapède
est un petit coquillage accroché aux rochers. Il y est si fortement fixé qu'il
est souvent impossible de le détacher autrement qu'à coups de pierre ou de
couteau ! Conséquence : sur les bords de la Méditerranée en général, et à
Marseille en particulier, où létonnières du Paradis ]
Et dans cette comédie, Léo, informaticien dijonnais quelque peu surmené et déprimé après une déception sentimentale, et qui a décidé de partir au soleil de Grèce dans un hôtel de luxe afin de se reposer, se ressourcer, va comprendre ce que signifie une arapède en tombant sur Antoine. Véritable càcou marseillais, mais surtout arapède d’exception, lui aussi a choisi la même destination que Léo, mais ni pour se reposer ou se ressourcer mais pour s'éclater !
Léo
aura beau faire ce qu'il peut pour éviter Antoine, celui-ci a décidé de le
coller au-dela de l’imaginable avec comme objectif louable de lui remonter le
moral… Sauf qu’avec les méthodes balourdes d’Antoine, c’est loin d’être
gagné !
“Un duo entre deux tempéraments, deux milieux sociaux et deux régions. Une comédie désopilante !”
Le Point
La Provence
La Marseillaise
L’Officiel des loisirs
On connaît vraiment Jean Jaque depuis 1996 et son immense succès de librairie : “Les Càcous, le parler de Marseille” qui en est désormais à sa dixième édition et a dépassé, allègrement, les 45 000 exemplaires vendus. Il a écrit ensuite deux autres livres : “Chroniques de la galère quotidienne” (1998) et “Meurtre au Vélodrome” (2000) et lancé le jeu de société “Les Càcous de Marseille” qui a atteint les 10 000 exemplaires vendus (Trophée du meilleur jeu adolescents/adultes en 2000). Fin 2005, il a fait paraître une bande dessinée (dessins de Sabine Nourrit) : “Un Càcou et une Cagole, histoires marseillaises” qui s’est vendu à 5 000 exemplaires en moins d’un an.
Parallèlement, il s’est mis à l’écriture de spectacles humoristiques, qui, au fil des années, sont devenus de véritables succès : “Une Vie de Càcou”, “Jeannot de Marseille” (2001), “Marseillades !” (2002), “Coupe à Cœur” (2003), “Un bébé nommé papa” (2004), “…Y’a rien là ?!” (2004) et “L’arapède” (2005).
Comédien, auteur, metteur en scène, professeur de théâtre, Gilles Azzopardi sait tout faire ! Et avec talent. Jean Jaque l’avait déjà remarqué, il y a quelques années, en assistant à une représentation de sa comédie “Masculin Plurielle”. En fait, Gilles Azzopardi n’en était pas à son coup d’essai puisqu’il avait rencontré le succès, auparavant, pour un autre spectacle : “Château, Scalpel et Viande froide”. Avec “Buzz off”, créé en 2005, où, une nouvelle fois, il est acteur, auteur et metteur en scène, il confirme son talent pour les comédies.
Mais, il sait aussi se mettre au service de spectacles écrits par d’autres. La preuve avec la reprise du “Dîner de Cons” de Francis Veber qu’il met en scène et qui a rencontré, en 2005, un succès phénoménal à Marseille et, bien sûr avec “L’arapède”.
Serge
GUBERN :
Depuis plus de vingt ans, Serge Gubern a choisi sa passion : le théâtre. De Feydeau à Shepard, de Labiche aux rôles comiques, il s’impose par un jeu d’acteur naturel et sincère qui fait mouche auprès du public.
Remarqué dans “Coupe à cœur”, puis dans “…Y’a rien là ?!”, Serge confirme son talent dans “L’arapède” où il interprète, avec bonheur pour lui et le public, le personnage haut-en-couleurs du càcou.
Laurent Moreau est un artiste complet. Comédien pour le théâtre et le cinéma, il est également chanteur de variétés et lyrique (baryton). Un éclectisme qui en fait un artiste de talent, original, qui plonge dans les nouveaux rôles qu’il choisit. Ils sont nombreux : d’Ulysse à Clitandre (“Les Femmes savantes”) pour le théâtre, de plusieurs rôles dans “Une Femme d’honneur”, “Sous le soleil” pour la télévision, à “Travail d’arabe” ou “Le Rôle de sa vie” avec Karine Viard pour le cinéma.
Sa rencontre avec Jean Jaque date de “Coupe à Cœur”, comédie écrite et mise en scène par ce dernier. Dans le rôle d’Arthur, “le Parisien”, il exprime une justesse de ton et un humour reconnus par les professionnels et le public. Il confirme avec “Un bébé nommé papa”, écrit et mis en scène par Jean Jaque. Alors, avec “L’arapède”, jamais deux sans trois !